Dans une lettre ouverte adressée aux autorités brésiliennes, de nombreuses organisations de la société civile, dont Action de Carême, demandent des éclaircissements sur le meurtre de la militante des droits humains Dilma Ferreira Silva. Elles appellent également l'État à respecter les droits humains.
S'engager auprès des femmes
Dans la lettre ouverte adressée aux autorités brésiliennes, Action de Carême et une centaine d’autres organisations non gouvernementales (ONG) demandent que ces trois assassinats fassent l’objet d’une enquête approfondie et que les responsables de ces meurtres soient traduits en justice.
Les ONG demandent également que l’État brésilien protège et applique les droits humains. En effet, depuis l’élection du nouveau président du Brésil, Jair Bolsonaro, les pressions sur les militant·e·s des droits humains et des peuples indigènes se sont intensifiées est leur situation est devenue plus précaire.