Au Kenya, la croissance économique profite principalement aux élites. Action de Carême s’engage pour que les populations rurales défavorisées ne soient pas laissées pour compte.

Madagascar compte parmi les pays les plus pauvres du monde. La population est livrée à elle-même. Le programme d’Action de Carême lui offre un soutien concret pour améliorer ses conditions de vie.

La République démocratique du Congo est riche en ressources naturelles. Pourtant, près de 75 % de la population vit dans une extrême pauvreté et 4 enfants sur 5 souffrent de malnutrition chronique.

Au Burkina Faso, la crise climatique et les attaques terroristes, qui ont déjà causé le déplacement de plus de deux millions de personnes, mettent en péril la sécurité alimentaire de la population.

Au Sénégal, 80 % de la population vit de l’agriculture, un secteur durement touché par la crise climatique. Pour lutter contre la faim et la pauvreté, des approches innovantes sont nécessaires.

La Colombie a été le théâtre d’un conflit interne pendant des décennies. Plus de huit millions de personnes ont été déplacées de force. Action de Carême aide les familles à subvenir à leurs besoins.

Comment les populations Mayas du Guatemala peuvent-elles continuer à produire de la nourriture lorsque les monocultures et les mines menacent leurs terres ? Action de Carême les aide à se défendre avec courage contre l’exclusion et la pauvreté.

La situation en Haïti est dramatique : crise climatique, méthodes de culture inadaptées et gouvernance désastreuse menacent la sécurité alimentaire de 3,6 millions de personnes.

Au Laos, les minorités ethniques des régions montagneuses dépendent des forêts pour assurer leur subsistance. Le déboisement massif et la crise climatique les impactent directement.

Au Népal, la discrimination des Dalits et des femmes perdure. Malgré des résultats encourageants dans la promotion des droits des minorités, le chemin jusqu’à l’égalité est encore long.

Aux Philippines, les richesses et les terres sont très inégalement réparties. En outre, des cyclones de plus en plus violents balaient le pays et privent les plus démuni·e·s de leurs maigres revenus.

Le retour aux traditions culturelles et spirituelles est un moyen pour les Adivasis et les Dalits, minorités discriminées en Inde, de se libérer de la faim et de l’oppression.