La présidence brésilienne de la COP a conduit les négociations avec prudence, malgré un contexte géopolitique tendu. Elle est parvenue à faire progresser, certes modestement, la question de la justice sociale. En revanche, les États n’ont pas réussi à s’accorder sur des mesures concrètes pour accélérer la protection climatique mondiale. En parallèle, et c’est une avancée encourageante, des activistes autochtones ont obtenu, en marge des négociations officielles, le renforcement de leurs droits fonciers.