Nous œuvrons pour un monde juste et sans faim. Pour y parvenir, nous collaborons avec des organisations partenaires dans les pays du Sud, afin d’améliorer durablement les conditions de vie des populations les plus vulnérables. En parallèle, nous défendons activement les droits fondamentaux des personnes les plus démunies, aussi bien à l’échelle internationale qu’en Suisse.
À travers 12 programmes nationaux en Afrique, en Asie et en Amérique latine, nous soutenons près de 350 projets à long terme visant à bâtir un avenir sans faim. L’an dernier, grâce à ses programmes pays, Action de Carême a pu améliorer les conditions de vie de 2,5 millions de personnes.
Les causes de l’injustice étant variées et complexes, nous adoptons plusieurs axes prioritaires. À travers nos projets, nous luttons contre la faim localement tout en plaidant, à l’échelle internationale, pour des conditions cadres justes et équitables.
Plus d’une personne sur onze souffre de la faim dans le monde. Les causes sont multiples et souvent interconnectées. En collaboration avec nos organisations partenaires locales, nous intervenons à la racine des problèmes. Nos projets ont pour objectif de garantir une sécurité alimentaire durable, afin que chaque personne puisse vivre dignement et à l’abri de la faim.
Les droits humains sont le socle d’une vie digne. Le droit à l’alimentation en est une composante essentielle, mais il continue d’être bafoué, notamment en raison de l’exploitation irresponsable des ressources naturelles. Nous défendons ces droits tant à travers nos projets dans les pays où nous sommes présents qu’au niveau international.
Le réchauffement climatique entraîne une augmentation de la fréquence des phénomènes météorologiques extrêmes tels que les sécheresses ou les tempêtes. Les agricultrices et agriculteurs sont particulièrement touchés : les récoltes sont détruites et les familles n’ont plus assez de quoi se nourrir. C’est pourquoi nous nous engageons pour une agriculture résiliente et nous faisons pression sur les principaux contributeurs au réchauffement climatique.
L’égalité des genres est fondamentale pour éradiquer la faim et la pauvreté dans le monde. Dans nos projets, nous encourageons activement la participation des femmes et les aidons à mener une vie autonome.
Plus d’une personne sur onze souffre de la faim dans le monde. Les causes sont multiples et souvent interconnectées. En collaboration avec nos organisations partenaires locales, nous intervenons à la racine des problèmes. Nos projets ont pour objectif de garantir une sécurité alimentaire durable, afin que chaque personne puisse vivre dignement et à l’abri de la faim.
Les droits humains sont le socle d’une vie digne. Le droit à l’alimentation en est une composante essentielle, mais il continue d’être bafoué, notamment en raison de l’exploitation irresponsable des ressources naturelles. Nous défendons ces droits tant à travers nos projets dans les pays où nous sommes présents qu’au niveau international.
Le réchauffement climatique entraîne une augmentation de la fréquence des phénomènes météorologiques extrêmes tels que les sécheresses ou les tempêtes. Les agricultrices et agriculteurs sont particulièrement touchés : les récoltes sont détruites et les familles n’ont plus assez de quoi se nourrir. C’est pourquoi nous nous engageons pour une agriculture résiliente et nous faisons pression sur les principaux contributeurs au réchauffement climatique.
L’égalité des genres est fondamentale pour éradiquer la faim et la pauvreté dans le monde. Dans nos projets, nous encourageons activement la participation des femmes et les aidons à mener une vie autonome.
Notre mode de vie a des répercussions significatives sur les populations du Sud. C’est pourquoi Action de Carême s’engage pour un monde plus juste et plaide pour que la Suisse assume pleinement ses responsabilités. À travers des campagnes de sensibilisation, nous mettons en lumière les liens entre le Nord et le Sud et les causes structurelles de la pauvreté.
En Suisse, nous menons des actions pour mettre en lumière les conditions de vie dans les pays du Sud. En partageant les connaissances acquises grâce à nos projets, nous sensibilisons le public à notre mission et à notre travail.
Nos liens avec les institutions ecclésiastiques demeurent essentiels, notamment durant la Campagne œcuménique, où leur soutien se manifeste à travers des actions de sensibilisation et de collecte de fonds. Cette collaboration précieuse est au cœur de notre engagement pour un monde sans faim.
En Suisse, nous menons des actions pour mettre en lumière les conditions de vie dans les pays du Sud. En partageant les connaissances acquises grâce à nos projets, nous sensibilisons le public à notre mission et à notre travail.
Nos liens avec les institutions ecclésiastiques demeurent essentiels, notamment durant la Campagne œcuménique, où leur soutien se manifeste à travers des actions de sensibilisation et de collecte de fonds. Cette collaboration précieuse est au cœur de notre engagement pour un monde sans faim.
16.10.2025
18h – 20h15
À l’occasion de la Journée mondiale de l’alimentation, le cinéma Bio programme le documentaire inspirant d’Alain Wirth, « Le goût des choses ». Avec sa caméra, le réalisateur a suivi durant un an le travail de deux maraîchers qui ont fait le choix d’opter pour une approche agroécologique.
Après la projection, un protagoniste du film témoignera de son expérience. La coopérative Les Jardins de Cocagne apportera un regard local, tandis qu’Action de Carême présentera ses projets d’agroécologie dans le Sud. La discussion se poursuivra avec le public.
17.10.2025
4:30 – 6:00 p.m., followed by a cocktail reception
« When mining and agribusiness cause hunger: can the UN protect rural communities against globalised companies? » On the occasion of World Food Day, we invite you to a round table on the threats that mining and industrialized agriculture pose to local food security.
A binding treaty on transnational corporations is currently being negotiated at the UN, led by South Africa and Ecuador. Why is such a treaty necessary, what is the status of the talks, and how can the UN Declaration on the Rights of Peasants help strengthen this framework?